07/03/2025

Rencontre « Spécial 8 mars 2025 » avec… Marius Boyeau-Lubert

Rencontre avec Marius Boyeau-Lubert, UI-UX Designer à Paris.

image interview spécial 8 mars de Marius Boyeau-Lubert

Penses-tu que l’égalité hommes-femmes est toujours un sujet d’actualité dans la Tech en 2025 ?

Oui, absolument. La Tech reste un secteur où les femmes sont encore sous-représentées, souvent à cause d’idées préconçues.

Historiquement, de nombreuses femmes ont eu un rôle clé dans le développement de la Tech, mais elles ont souvent été invisibilisées.

Pourtant, il n’y a aucune raison valable pour qu’elles ne soient pas plus nombreuses aujourd’hui dans ce secteur.

Je pense qu’il y a un vrai travail de représentation à faire. Montrer qu’il y a des femmes dans la Tech permettra à certaines de s’y projeter plus facilement et de s’y sentir légitimes. Tant que l’image du secteur reste largement masculine, il sera difficile pour certaines de prendre cette voie.

Au-delà du manque de représentation, les inégalités entre hommes et femmes, notamment sur les salaires, restent un problème important.

Quand on parle « droits des femmes », quel mot cela t’inspire ? 

Deux mots me viennent à l’esprit : « hiérarchie » et « exploitation ».

Tant qu’on parle encore des droits des femmes, c’est bien qu’il existe une hiérarchie sociale qui les place dans une position d’infériorité.

Si les femmes ont les mêmes devoirs, il est normal qu’elles aient accès aux mêmes droits.

L’exploitation, quant à elle, découle, selon moi, de cette hiérarchie des individus. À partir du moment où tout le monde n’est pas traité de la même façon et que certains ont plus de droits que d’autres, il y a un risque d’exploitation.

D’après toi, que met en place Neos-SDI pour plus d’inclusivité au quotidien ? 

Honnêtement, je ne connais pas tous les détails, mais je sais que l’entreprise met en avant ses employées dans ses communications notamment sur les réseaux sociaux au travers d’interviews. Donner la parole à des femmes en poste est un excellent moyen de lutter contre le manque de représentation et de montrer que Neos-SDI accueille hommes et femmes sans faire de distinction.

Sur un plan plus général, Neos-SDI a une culture d’inclusivité qui se ressent au quotidien.

Contrairement à certaines entreprises où l’on perçoit une ambiance très viriliste, ce n’est pas le cas ici.

Je sais aussi que nous avons un index d’égalité professionnelle qui reste à un niveau honorable, ce qui démontre bien que le sujet est pris au sérieux par l’entreprise.

Comme Marius Boyeau-Lubert, vous souhaitez rejoindre Neos-SDI et devenir un Neostee ? N’hésitez pas à consulter nos opportunités.